Dans ces textes inattendus, sincres, vibrants, trois crivains, trois pres, parlent pour la premire fois de l'exprience incomparable de la paternit. Ils disent les alas, la maladie, la peur. Ils disent l'angoisse de la mort, l'merveillement devant la vie, la remise en question. Ils disent aussi ce que beaucoup ressentent mais que peu sont prts reconnatre : les tourments, les agacements et, parfois, la mlancolie. Mais toujours, unanimement, ils disent l'amour. |